Développer son engagement RSE avec des challenges écoresponsables

Toute organisation peut adopter la Responsabilité Sociétale des entreprises à des niveaux différents. La méthode employée est la bonne du moment qu’il y a la volonté de contribuer aux enjeux du développement durable. Mais aussi, de chercher à  impacter positivement la société. C’est pour cette raison qu’il existe tout un tas d’événements dédiés, afin de motiver et de sensibiliser le plus grand nombre. Mais alors, passé le cap de la prise de conscience des avantages long-termistes de la RSE, comment peut-on mettre en place sa propre action engageante ?

Comment et pourquoi mettre en place un challenge RSE ?

Pour commencer, il faut définir ce que l’on veut (et surtout peut) appliquer en termes de RSE au sein de sa société. Se lancer dans des challenges sans poursuivre d’objectifs précis n’a pas beaucoup de sens. D’autant plus qu’il en existe des centaines (Numérique responsable, sobriété carbone, sensibilisation, réorganisation…).

Voici notre conseil :

👀 Constatez l’existant : Étudiez votre environnement, repérez les points améliorables…pour résumer, faites un état des lieux de votre activité,

📊 Trouvez vos limites : Ce point va de pair avec le précédent. Il faut vous assurer de la cohérence de vos objectifs,

🎯 Définissez vos objectifs : Maintenant que vous connaissez vos forces et faiblesses sur le bout des doigts, vous pouvez commencer à réfléchir sur les points que vous pouvez améliorer ou non. Soyez curieux, il n’y a pas de mauvais objectif en soi,

📓 Faites le point : Après avoir conceptualisé vos prochaines clés de voûte, il convient de s’assurer une dernière fois que la route à prendre est la bonne. Passez le tout en revue, ajustez les derniers rouages si nécessaire, et la machine peut être lancée.

Ces étapes sont importantes car elles comprennent de nombreux avantages :

  • Vous sortez de votre zone de confort et élargissez votre projection sur le long terme avec un accent mis sur l’impact positif,
  • Vous fidélisez une partie de vos salariés qui partageront les mêmes valeurs que vous,
  • Vous contribuez à la qualité de vie au travail grâce à des challenges amusants,
  • Vous pouvez certifier votre engagement RSE auprès d’agrégateurs comme le label Lucie, qui évaluent les performances en la matière.

Une fois votre politique RSE élaborée, vous pouvez réfléchir à la création de votre.vos challenge.s RSE ! 🌳

Conceptualiser un challenge amusant et pour tous

La première chose à faire, c’est définir la durée et la portée de votre.vos action.s. Vous pouvez plancher sur une demi-journée, une journée entière, une semaine, un mois, un jour par mois dans l’année, ou même toute l’année.

Mais aussi, il faut anticiper le message que vous souhaitez véhiculer à travers votre action. Vous souhaitez promouvoir la réduction des déchets à échelle humaine ? Vous voulez faire de la réutilisation votre nouveau mode de consommation ? Ou encore, faire du gaspillage alimentaire un mauvais souvenir ? Une combinaison des trois ? Et même plus encore ? C’est tout à votre honneur 👊🏼

Vous avez presque terminé ! Il vous faut maintenant définir quelle forme prendront vos défis. Deux types de challenge existent :

  • Qualitatif : formations, créations, rencontres…
  • Quantitatif : collectes, dons…

Nous vous conseillons d’opter pour des challenges tant qualitatifs que quantitatifs afin de diversifier votre approche. Mais encore une fois, c’est VOTRE challenge RSE. Il peut consister en de simples critères à remplir, mais aussi en un jeu entre équipes qui s’affrontent afin d’apporter divertissement et engagement à vos salariés.

Et voilà, maintenant il ne reste plus qu’à vous lancer.

Accédez à notre agenda spécial RSE ! C’est l’occasion de vous informer sur les bonnes pratiques sociétales et environnementales

L’exemple de Keleo : les challenges green

Terminée la théorie, place à la pratique ! 👊🏼

En ce qui concerne les challenges RSE, Keleo n’en n’est pas à son premier coup d’essai. 

Concrètement (et pour raconter une petite histoire), les prémices de notre version des challenges remontent en 2020 : En effet, nous avions commencé à réfléchir à un nouveau modèle de consommation et d’achat afin de réduire nos déchets. Une équipe RSE a été mise en place pour l’occasion, fruit de la collaboration entre Diane, notre chargée des Ressources Humaines et François, un de nos développeurs. Cette équipe s’est occupée de la mise en place d’actions. Il était clair dès le départ que nos efforts devaient prendre la forme d’activités ludiques, engageantes et collaboratives. Cela a abouti à la première version des challenges green, qui consistaient en une action par mois (mesure de la consommation de viande en janvier, utilisation responsable du numérique en février, cadeaux faits main en décembre, etc.). Seulement, par manque d’anticipation, d’information et de temps, ce format a rapidement présenté ses limites.

Émilie, une membre de notre équipe Design est arrivée en renfort en 2022 et a participé à l’animation green chez Keleo. L’équipe RSE a ainsi retravaillé les challenges, et leur organisation a changé. Désormais, nous consacrons une semaine complète, deux fois par an, aux challenges green.

Au cours de notre dernière session, plusieurs objectifs ont été posés :

👣 Favoriser la mobilité douce en effectuant le trajet domicile/travail le plus souvent possible à pied ou à vélo. Le nombre de kilomètres ainsi parcourus a été comptabilisé ;

🧠 Tester ses connaissances sur la consommation de saison et locale ainsi que les bonnes pratiques Green IT et le recyclage autour d’un quizz en temps limité ;

♻ Réutiliser un objet ou un matériau (pneus, verres, jouets, bouts de bois…) afin de lui accorder un second souffle. Par exemple, prendre une boite de conserve vide, retirer l’opercule, et l’utiliser comme un pot à crayons ;

🚮 À travers le ramassage des déchets, se mobiliser pour réduire la pollution de l’eau et protéger la faune et la flore tout en embellissant les lieux que l’on croise au quotidien ;

🍽 Réviser son alimentation en privilégiant les produits locaux et/ou de saison. Dans notre cas, cet objectif a pris deux formes différentes : un atelier cuisine et une formation alimentation saine et durable ;

Des points ont été attribués aux équipes participantes selon leurs performances respectives. Cela permet d’intégrer une dimension compétitive et ludique aux objectifs à atteindre. 

Et cette méthode porte ses fruits : toutes les équipes ont récolté le maximum de points !

Les effets positifs découlant de ces challenges sont nombreux :

🏆 Les Keleotes ont pu se réunir en groupes et faire preuve de cohésion d’équipe

🏆 Nous constatons nos efforts, et sommes fiers d’avoir agi en faveur de l’environnement tout en tirant des leçons que nous appliquons à notre quotidien

🏆 Les valeurs de Keleo sont respectées, ce qui représente une fierté supplémentaire

Nous espérons que cet article vous inspirera et vous donnera des idées pour réaliser VOS challenges green !
N’hésitez pas à nous contacter, nous serons ravis d’échanger sur ce sujet et partager nos retours d’expérience.

Les étapes clés pour réussir votre MVP

Le marché du numérique peut être vu comme un alien. En effet, celui-ci croît continuellement : selon les chiffres de WeAreSocial, le nombre d’internautes au niveau mondial a augmenté de 8,6% par an en moyenne, en dix ans. De plus, la crise sanitaire a précipité la transition numérique des organisations et des ménages. Cela résulte en une pression pour les éditeurs de logiciels, qui doivent s’assurer de délivrer une application web ou mobile qui fait mouche auprès des utilisateurs s’ils veulent se développer.
Il existe une solution pour augmenter ses chances de réussite : Le Minimum Viable Product (MVP). En quoi consiste-t-il ? À quoi ça sert ? Comment s’y prendre pour créer un MVP ? Que faire une fois qu’il est prêt ?

Nous allons voir dans cet article les avantages du MVP et les étapes pour créer le MVP de votre solution.

Qu’est-ce qu’un Minimum Viable Product (MVP) ?

Définition

Le MVP (que l’on peut traduire par “Produit Minimum Viable”, ou PMV) est ce qu’on rapprocherait le plus d’une version bêta d’un produit dans le langage courant. Concrètement, on parle ici d’une version du produit qui rassemble uniquement les fonctionnalités essentielles.

Défini par Éric Ries (entrepreneur Américain réputé pour ses travaux sur le Lean Startup), il remplit un double objectif : 

  • Concentrer les efforts sur ce qui est élémentaire afin de gagner du temps,
  • Permettre un rebond rapide et efficace suite à un retour utilisateur afin d’optimiser l’apprentissage ainsi que les mesures de correction.

Pourquoi créer un MVP ?

Le MVP permet de tester la vision du produit et de présenter rapidement ce dernier à ses utilisateurs potentiels cibles. Mais aussi, de vérifier s’il répond à une problématique, un besoin. L’objectif est de développer uniquement les fonctionnalités essentielles qui répondent au(x) problème(s) identifié(s).

C’est pour cela que l’utilisateur est intégré très rapidement dans le processus de conception. En effet, celui-ci est chargé de tester des versions successives du produit afin d’émettre un commentaire. Cela permet d’apprendre à mieux le connaître tout au long du développement du produit, à travers le MVP. Ainsi, l’utilisateur occupe une place importante dans le développement du produit, comme le prône le modèle Lean Startup.

POC, Prototype, MVP : quelles sont les différences ?

Attention, il ne faut pas confondre le MVP avec un POC (proof of concept, ou preuve de concept) ou encore un prototype.

Voici les réflexions à mener afin de faire la distinction entre les trois :

  • Je veux savoir si mon projet est faisable => Je fais appel au POC (Proof of Concept) :
    Que ce soit pour une innovation ou encore pour un business model, la preuve de  concept évalue les éléments réalisables d’un projet. Elle intervient en début de projet et porte sur l’aspect technique de ce dernier.
  • Je veux être sûr que le “Comment faire” est acquis => J’utilise un prototype :
    On parle ici de la maquette interactive du produit . Il est plus facile de se projeter dans le produit et son utilisation avec un prototype. À travers des tests utilisateurs, le prototype permet de tester l’ergonomie, les fonctionnalités, les interactions entre les composants de l’interface et entre les écrans ou encore l’esthétique du futur produit. L’avantage du prototype est de pouvoir tester et modifier rapidement les maquettes du produit avant de débuter le développement. Pour en savoir plus, n’hésitez pas à aller lire notre article « Comment créer la maquette et le prototype d’une application ?« .
  • Je veux déterminer si mon projet est viable => J’emploie la méthode du MVP :
    C’est la base concrète, la version finale du produit avec les fonctionnalités essentielles développées. C’est cette version du produit qui va être lancée auprès des potentiels utilisateurs cibles. Cela permettra de tester le produit pour en tirer des enseignements et itérer. Le produit va ainsi évoluer en fonction des retours utilisateurs.
    Cela va également impacter les dimensions marketing et commerciales. 

Les avantages du MVP

Maintenant que vous connaissez le portrait-robot d’un MVP, il faut comprendre en quoi c’est une solution viable pour la mise en place de votre projet.

Le Minimum Viable Product a de nombreux avantages comme :

  • Réduire les coûts : Le MVP étant la version la plus basique du produit, sa conception ne représente pas une lourde charge financière.
  • Limiter votre prise de risque : Inclure l’avis de vos utilisateurs dans l’élaboration et l’amélioration du MVP permet d’apprendre à mieux les connaître et comprendre leurs besoins. Ainsi, cela impacte positivement votre courbe d’apprentissage en plus d’augmenter vos chances de créer un produit réussi (notamment en évitant l’effet tunnel).
  • Alléger le processus : Créer un produit est long – parfois très long -, et comprend de nombreuses étapes. Le MVP permet de raccourcir le temps entre l’idéation et le lancement d’une première version de la solution sur le marché grâce à un processus plus léger et agile.
  • Approuver le produit sur la durée : Les tests d’hypothèses et de concept sont une opportunité à saisir. Non seulement ils vérifient la viabilité du produit, mais ils donnent également l’occasion de constater les tendances du marché afin de déterminer la meilleure adéquation produit-marché possible.
  • Améliorer votre proposition commerciale : En vous dotant de méthodes d’apprentissage et de compréhension de vos clients, vos équipes marketing et commerciales agrémentent leurs démarches respectives (pitch, proposition de valeur, campagne publicitaire/promotionnelle, élaboration de Personæ précis…).

Comment Keleo vous aide à créer votre Produit Minimum Viable

Imaginons que vous ayez une idée d’application que vous souhaitez tester rapidement auprès de votre marché ou que vous souhaitiez faire évoluer votre produit déjà existant. 

Voilà les différentes phases que nous vous proposons pour réaliser votre MVP : 

Phase 1 : Révéler votre projet 

Cette phase commence par plusieurs étapes :

  • Cadrage : Keleo vous aide à cadrer votre projet en définissant la demande et vos besoins. Nous nous alignons ensemble sur votre vision du projet et du produit. Cela nous aide à définir les contours de notre collaboration afin de créer votre PMV et d’en définir le coût. 
  • Immersion : il s’agit ici de comprendre qui sont vos utilisateurs et quels sont leurs besoins. Pour y parvenir, nous faisons appel à des méthodes utilisées en UX design telles que l’observation sur le terrain, les entretiens, les focus group, les questionnaires, etc.
    Cette étape est complétée par la compréhension du marché : les concurrents, la vision du produit.
  • Définition : ici nous définissons la problématique et le projet pouvant la résoudre.
  • Idéation : après avoir conceptualisé le MVP, il est temps de lui donner la forme d’un prototype. Nous utilisons pour cela un Design Sprint, qui permet de concevoir rapidement un prototype du MVP testable auprès des utilisateurs.

Phase 2 : Backlog produit

On parle ici du carnet des fonctionnalités du produit . Ce backlog nous permet de définir le périmètre du MVP en se concentrant sur les fonctionnalités à forte valeur ajoutée pour les utilisateurs.  La priorisation de ces fonctionnalités sert de feuille de route pour définir les étapes de conception et de développement à suivre. 

Pour mieux comprendre comment adapter votre projet à un contexte Agile, nous avons écrit un article sur le sujet ici : Pourquoi et comment adapter votre cahier des charges à un contexte agile ?

Phase 3 : Conception en cycles courts sous forme itérative – le scrum / l’agilité

Chaque itération permet de concevoir une partie fonctionnelle potentiellement livrable. Cette étape commence par définir l’aspect visuel des interfaces (UI design) traitées en priorité dans l’étape précédente. Ces interfaces sont ensuite développées au cours de sprints.  À chaque fin de sprint, une revue des développements est effectuée et permet de confronter les développements avec vos attentes, mais aussi celles de vos utilisateurs.

Phase 4 : Amélioration continue

L’avantage d’une mise sur le marché rapide est de recueillir des retours et d’adapter le produit en continu. À la suite de chaque itération, le produit développé peut être mis en production (c’est-à-dire en ligne) et testé sur le marché auprès de vos  utilisateurs finaux. Il ne faut pas hésiter à multiplier les phases de feedbacks afin de comprendre-mesurer-apprendre. Cela permet in fine d’aboutir à un produit mature qui entre en adéquation avec votre  marché et vos  utilisateurs.

Voilà comment nous pouvons vous aider à concevoir votre MVP et faire évoluer votre application. 

Vous souhaitez réaliser votre MVP ? Il ne reste plus qu’à vous lancer !
N’hésitez pas à contacter notre équipe pour présenter votre projet !

Meetup : Découvrez les coulisses d’un Design Sprint

Présentation et retour d’expérience sur notre collaboration avec l’équipe d’Eurécia

Jeudi 19 Janvier 2023, la neige et le froid n’ont pas ralenti la trentaine de participants venus découvrir le premier meetup organisé par Keleo.

C’est dans le superbe cadre du campus d’Eurécia à Castanet, que nos keleotes Claire et Valérie ont partagé leur retour d’expérience sur le Design Sprint.

Eurécia, éditeur de logiciel SIRH, a fait appel à l’équipe Keleo pour optimiser la phase de paramétrage de leur offre Zen. Il était question de rendre les utilisateurs de la solution d’Eurécia plus autonomes grâce à l’amélioration du parcours proposé par cette offre.

L’utilisation du Design Sprint a boosté la phase de recherche d’une solution à la problématique. Mais en quoi consiste le Design Sprint et en quoi permet-il de booster le développement d’une solution numérique ?

Le Design Sprint est une méthode issue du Lean Startup et du Design Thinking. Il consiste en une phase de résolution de problèmes et de créativité accélérée afin de répondre aux besoins utilisateurs le plus rapidement possible. Concrètement, on teste une idée de prototype en seulement 5 jours afin de limiter le risque d’incertitudes, qui est coûteux en argent et en temps. 

C’est durant ce meetup avec Eurécia que nous avons pu décrire, raconter, approfondir le sujet autour d’un cas concret. L’expliquer, c’est bien, mais le vivre, c’est mieux.

Voici le déroulé de la soirée :

  • Définition du Design Sprint (en comparant notre méthode avec celle de Google, qui en est à l’origine),
  • Description des étapes par lesquelles sont passées Eurécia et Keleo (contexte, missions),
  • Retour d’expérience d’Eurécia, qui a explicité son ressenti vis-à-vis du Design Sprint,
  • État des lieux de l’impact du Design Sprint sur leur produit et leur organisation (sur les court et long termes),
  • Discussion avec le public autour de questions thématiques pour s’assurer de la bonne compréhension du sujet,
  • Conclusion sur les avantages et les inconvénients de cette méthode.

Nous vous proposons, à travers cet article, de vivre cette conférence.

Merci à GARCIA Theo pour le montage vidéo

Choisissez le format que vous préférez

Pour accéder à la conférence et son contenu, vous avez le choix entre deux options :

La conférence en vidéo

Image - Vidéo du meetup

Le support de présentation

Image - Support de présentation

Notre équipe Design s’exprime sur le Design Sprint

Voyons ce que Claire et Valérie ont à nous dire, quelques temps après la conférence :

Q.1 : Qu’avez-vous pensé de cette soirée ?

Claire : Une soirée très enrichissante 🙂 Humainement car nous avons pu retrouver les équipes d’Eurécia, échanger sur nos évolutions depuis la fin de la mission. Nous avons également eu de très bons retours des participants avec qui nous avons partagé ce moment. Professionnellement aussi car nous avons pu démontrer l’utilité de la phase d’UX design avec un focus sur une méthode dont nous prônons les bienfaits. Et quel plaisir de voir que notre travail a eu un impact positif sur les équipes et le produit Eurécia. 

Valérie : Cette soirée était particulière puisqu’il s’agissait du tout premier meetup organisé par Keleo. Pour ma part, j’ai apprécié ce partage autour d’une expérience que nous avons vécue et sur laquelle nous avons appris. J’espère que les participants ont apprécié cette opportunité et qu’ils auront envie de revenir aux prochains ! 

Q.2 : Dans les grandes lignes, si vous deviez rappeler quels sont les avantages et les inconvénients du Design Sprint, que diriez-vous ?

Claire : Avantage / Pour moi, l’avantage du Design sprint c’est l’état d’esprit. En quelques jours nous créons les conditions, le rythme, les pratiques pour amener des équipes de tout type d’organisation à résoudre des problèmes et trouver de nouvelles idées en se focalisant sur le besoin utilisateur. Elle peut apporter également un changement dans la culture d’entreprise et les pratiques par l’expérimentation d’un mode de fonctionnement différent.
Et les résultats positifs de cette méthode ne sont plus à prouver 🙂 

Inconvénient / La difficulté de cette méthode est pour moi d’acculturer nos clients à cet état d’esprit. Il est compliqué d’attribuer du budget sur cette phase et de faire confiance à la méthode.  Il est primordial que les participants viennent aux ateliers avec une volonté d’expérimenter, de travailler en équipe et surtout accepter une remise en question de leurs présupposés.

Valérie : Pour moi, le plus gros avantage d’un Design Sprint est d’accélérer la résolution d’un problème. En concentrant l’intelligence collective et en appliquant une contrainte de temps, on stimule la génération d’une solution. L’intelligence du Design Sprint c’est de se dire que cette solution n’est pas forcément la bonne, il faut la tester et c’est sur la base de ces apprentissages qu’on va construire la “bonne” solution. 

Q.3 : Depuis la collaboration avec Eurécia, avez-vous utilisé le Design Sprint à nouveau ? Avez-vous d’autres retours d’expérience à nous faire  ?

Claire : Aujourd’hui le Design Sprint est l’un de nos outils majeurs. Nous l’utilisons quand le contexte du projet correspond aux exigences et aux besoins.
Nous l’adaptons aux clients pour que le résultat soit le plus optimal. Il nous a fallu un temps d’expérimentation pour fixer un périmètre d’utilisation au sein de notre offre. Nos clients valident son efficacité. Il me tarde de l’utiliser à nouveau 🙂

Valérie : Nous avons réalisé d’autres Design Sprint depuis. À chaque nouveau Design Sprint nous testons et nous apprenons. Ce que j’aime c’est que chaque Design Sprint est différent : nous construisons en fonction du projet, des contraintes organisationnelles et des clients. Pour moi, un Design Sprint n’a pas de déroulé figé : nous pouvons utiliser plein de techniques différentes pour répondre aux objectifs de chaque phase du Design Sprint.

Vous pensez que le Design Sprint est la bonne méthode pour booster votre projet d’application numérique ?
Prenez rendez-vous avec notre équipe et discutons-en !